« Bach sous les tilleuls » Diapason d’or
Le nouveau CD de Loris Barrucand et Clément Geoffroy est sorti le 31 mai dernier. Il a été récompensé par un Diapason d’or.
« Tout convainc et emporte, imprégné par la complicité de Barrucand et Geoffroy dont irradie le bonheur de jouer ensemble. Le nôtre à les écouter est intarissable. « Jean-Christophe Pucek
Loris et Clément ont également été les invités de Clément Rochefort pour « Génération France Musique » le 28 septembre dernier.
Bach sous les tilleuls dans la presse
« Alors si défi il y a eu, il est remporté haut la main, pour ce disque comme pour les précédents: voilà un programme très agréable, qui donne envie de revenir le déguster, devant un bon café et sous les tilleuls de l’été. » Matthieu Roc – ResMusica
« Leur performance est un flot continu de notes et de sons, débordant de fluidité et offrant un véritable spectacle. Les contrastes dans leur jeu, les effets de nuances et l’aspect théâtral ajoutent une grande prestance. Certaines pages révèlent de légers décalages entre les deux claviers, permettant d’entendre distinctement chaque instrumentiste dans un véritable dialogue. Le mariage des timbres et des intentions crée une harmonie saisissante. Les cantates, bien que souvent d’un ton sombre, sont des respirations interprétées avec des plans distincts et une minutieuse prise de son de Mathilde Genas, également à la direction artistique de cet enregistrement. » Emmanuel Deroeux – Classykeo
« Outre un réel talent pour respecter l’esprit des œuvres dans le délicat travail de transcription pour leurs instruments, le duo Barrucand & Geoffroy fait montre d’une égale réussite quant à l’interprétation : vivacité des tempos, large nuancier de couleurs, bien mis en valeur sur les deux instruments joués, l’un d’Émile Jobin, l’autre de Jean-François Chaudeurge, tous deux d’après des clavecins de Goujon. Lesquels sont captés brillamment quant à leur disposition spatiale et de manière aérée. » Jean-¨Pierre Robert – ON-mag
» (…) une célébration où éclate l’irrésistible vitalité des Concertos d’après Vivaldi que les clavecins rendent plus mobiles et fusants que ne le peut l’orgue, plus proche en somme du spumante des originaux : les deux clavecins français d’après Goujon y mettent beaucoup de lumière, et chanteront dans des polyphonies altières Nun komm der Heiden Heiland. » Jean-Charles Hoffelé – ARTAMAG’
« « Bach sous les tilleuls » comporte une série de transcriptions de concertos. Voilà de quoi donner à votre dimanche des airs… Comment dire ? Printanier ? Oui, printanier. Une folie… » Frederik Casadesus – Mediapart
« Une liberté joyeuse anime cet enregistrement auquel donnent voix les splendides instruments d’Émile Jobin et de Jean-François Chaudeurge, comme dans un rêve ombragé par les tilleuls du Cafè Zimmermann. » Ferruccio Nuzzo – Grey Panthers